L'essentiel
- Les soldes d'été 2025 commenceront le 25 juin et se termineront le 22 juillet pour la plupart des départements français.
- Certaines régions ont des dates de soldes différentes, y compris la Corse et les territoires d'Outre-Mer.
- Les produits soldés bénéficient des mêmes garanties que les autres articles, les limitations de garanties étant illégales.
Hâte de faire de bonnes affaires ? Les soldes d'été 2025 commencent bientôt : le mercredi 25 juin, à 8h, dans la plupart des départements. Une date encadrée par un arrêté de 2019. Cette période de promotions estivales débute « le dernier mercredi du mois de juin. Cette date est avancée à l'avant-dernier mercredi du mois de juin lorsque le dernier mercredi intervient après le 28 du mois. »
Avec une période fixée à quatre semaines, les soldes se terminent le mardi 22 juillet cette année. Mais il existe quelques exceptions. En Corse, par exemple, les dates sont décalées du 9 juillet au 5 août. En revanche, « le début des soldes d'été dans les Alpes-Maritimes et les Pyrénées-Orientales est désormais aligné sur la date nationale », précise Explore France, site officiel de l'Agence nationale du tourisme.
Soldes d'été 2025 : mauvaise nouvelle, les Français ne devraient pas faire de folies
En Outre-Mer, les soldes auront lieu du 16 juillet au 12 août à Saint-Pierre-et-Miquelon, du 27 septembre au 24 octobre en Guadeloupe, du 2 octobre au 29 octobre en Martinique et du 11 octobre au 7 novembre à Saint-Barthélemy et Saint-Martin. À La Réunion, elles ont déjà eu lieu du 1er février au 28 février.
Un article soldé a les mêmes garanties que tous les autres
Pour rappel, « le commerçant peut uniquement solder les produits proposés à la vente depuis au moins un mois avant le début de la période de soldes », indique Service-Public.fr. Si un article n'est plus disponible, il ne peut pas se réapprovisionner.
Les produits soldés bénéficient, par ailleurs, des mêmes garanties que les autres articles. Les limitations de garanties sont donc illégales. En cas de défaut de conformité ou de vice caché, ils doivent être réparés, échangés ou remboursés. Dans les autres cas, « le commerçant n'est pas tenu juridiquement de procéder à l'échange ou au remboursement, mais il peut le faire à titre purement commercial », précise la répression des fraudes (DGCCRF).