C'est un jalon important dans l'histoire, encore inachevée, de l'égalité femmes-hommes. Le 13 juillet 1965, il y a bientôt 60 ans, une grande loi de réforme des régimes matrimoniaux permettait enfin aux femmes mariées d'ouvrir un compte bancaire en leur nom propre, entre autres avancées. Avant cette date, elles devaient demander l'autorisation de leur mari.

« Les femmes ont moins le sentiment de propriété de leur argent que les hommes »

BNP Paribas a opportunément décidé de profiter de cet anniversaire pour faire la promotion d'une nouvelle offre défiée des femmes. A partir du 13 juillet prochain et jusqu'au 31 octobre 2025, les clientes de la banque aujourd'hui cotitulaires d'un compte joint bénéficieront d'une année de gratuité pour l'ouverture d'un compte courant équipés d'une formule Esprit Libre, comprenant la carte et les services essentiels au quotidien et habituellement facturée 35,52€ par an pour les moins de 25 ans et 88,68€ pour les autres, avec une carte Visa Classic.

Cette promo vaut également pour les clientes de Hello bank !, la banque en ligne de BNP Paribas, où elles profiteront d'un an de gratuité sur la formule Hello Prime, facturée habituellement 5€ par mois (60€ par an).

Banque en ligne : le comparatif des offres

Une prime pour l'ouverture d'une assurance vie

Les 60 années qui nous séparent de la loi du 13 juillet 1965 n'ont pas suffi à effacer toutes les inégalités face à l'argent et au patrimoine. Elles persistent notamment en matière d'épargne : les femmes ont tendance à moins investir que les hommes, et donc à se retrouver avec moins de sécurité financière une fois parvenues à la retraite.

Pour encourager les femmes à faire fructifier leur matrimoine, BNP Paribas offre à ses clientes, à partir du 13 juillet, une prime de 80€ pour « pour toute souscription d'un premier contrat d'assurance-vie, avec versements programmés ». « Cette offre sera étendue dès septembre 2025 à de nouvelles clientes via une opération de marrainage, ceci afin de favoriser l'accès à l'investissement », annonce également la banque parisienne.

« Les femmes doivent comprendre les risques de ne pas s'occuper de leurs finances personnelles »