Mon Petit Placement

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Supports haut de gamme accessibles dès 300 €

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La fintech Mon Petit Placement propose un contrat d'assurance-vie simple et à frais réduits. Avec un ticket d'entrée à seulement 300 euros, l'épargnant peut accéder à des produits réservés habituellement aux personnes bénéficiant d'un gros patrimoine.

Le client peut choisir son portefeuille d'actifs parmi 4 profils et donner une orientation à son investissement en fonction de la thématique qui lui tient à cœur : climat, solidarité, égalité, etc.

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Mon Petit Placement est une fintech française qui propose de souscrire une assurance vie via une plateforme numérique innovante. Simple et à frais réduits, son offre permet à tous les épargnants d'accéder à des produits habituellement réservés aux clients fortunés.

Mon Petit Placement (MPP) est un courtier en opérations d'assurance qui, grâce à des partenariats avec des assureurs (Generali, Apicil) et des sociétés de gestion, entend démocratiser l'investissement par l'assurance vie, notamment auprès des jeunes. En s'inscrivant sur la plateforme, l'épargnant ouvre un contrat d'assurance vie où sera logé un portefeuille d'investissements.

La fintech se veut accessible à tous, c'est pourquoi le ticket d'entrée est de 300 euros en cas de mise en place de versements mensuels de 100 euros (qui peuvent être stoppés à tout moment). A défaut, il faudra verser au minimum 1 000 euros. Pour effectuer un retrait, le minimum est de 300 euros chez Generali et de 500 euros chez Apicil, l'argent étant disponible à tout moment.

Après avoir répondu à un questionnaire, le client se voit proposer un portefeuille d'actifs qui lui correspond, parmi ces quatre profils :

• volontaire, pour ceux qui souhaitent une croissance stable sans prendre de risques ;
• énergique, avec davantage de risques mais tout en restant modéré ;
• ambitieux, dédié à ceux qui veulent une meilleure performance, en contrepartie de risques plus élevés ;
• intrépide : des risques encore accrus mais une rentabilité plus importante.

Le titulaire peut aussi ajouter une « option », c'est-à-dire une sorte de thème pour ses investissements : environnement, tech, santé, immobilier, solidarité, emploi, égalité et relance. Il fait ainsi fructifier son argent en soutenant une cause qui lui tient à cœur.

Bien que l'investisseur soit aiguillé par des experts, il a toujours le choix d'opter pour un autre portefeuille que celui conseillé. Ces enveloppes sont composées d'actions, de matières premières, d'obligations, soit uniquement des supports en unités de compte... MPP ne propose pas d'investir sur un fonds en euros. Le client ne peut pas lui-même choisir et investir dans des actifs en particulier. En effet, la plus-value de MPP est de permettre à ses utilisateurs, via sa plateforme, d'accéder à des actifs habituellement accessibles aux investisseurs fortunés (ticket d'entrée élevé) ou accompagnés d'un conseiller en gestion de patrimoine privé.

Par ailleurs, la fintech commercialise également depuis début 2023 un tout nouveau produit 100% digital, dédié cette fois-ci aux mineurs. Accessible dès 40 euros par mois, ce compte d'investissement a pour but d'aider à financer les projets futurs des enfants des utilisateurs (premier achat immobilier, études, permis de conduire...), et ce dès la naissance.

Quels sont les frais ?

Mon Petit Placement ne se rémunère que lorsque ses clients réalisent des gains. Ainsi, chaque trimestre, une commission est prélevée sur l'éventuelle plus-value réalisée. En revanche, si le capital n'a pas gonflé par rapport au trimestre précédent, l'épargnant n'est pas ponctionné. Cette commission varie de 0,01 à 25% selon les sommes placées ; plus l'utilisateur investit, plus sa commission sera faible. Le client est averti par email une semaine avant le prélèvement sur son compte bancaire. Pour connaître précisément le montant de la commission, MPP donne accès à un simulateur sur son site internet.

Cette commission sont les seuls frais de la fintech. En effet, que ce soit l'ouverture du produit, les versements, les retraits d'argent ou encore les arbitrages, toutes ces opérations de gestion sont gratuites. L'investisseur est toutefois bien évidemment soumis à la fiscalité classique de l'assurance-vie lorsqu'il effectue des retraits.

Par ailleurs, comme pour tout contrat d'assurance-vie, des frais annuels de gestion sur les unités de compte sont facturés (0,50% maximum). Enfin, les sociétés de gestion, qui conçoivent les produits, se rémunèrent en moyenne via une commission de 1,2% par an.

Mode de gestion du contrat

Frais du contrat

Versements et retraits des fonds

Fonds en euros et fonds en UC

Performances de la gestion pilotée

Avis clients

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